Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu plusieurs fois. J’ai laissé le message accessible un long instant, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, de la même façon qu'un point fixe dans une journée qui n’en avait pas. Il n’avait aucun besoin d’être long. Il avait contaminé sérieuse. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à personne. Ce n’était pas un sujet de altercation. Ce n’était pas une histoire ancienne. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais réel. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas un contact à tout. C’était une phrase qui m’avait accords de prévoir un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un allié simple. Et dans certains phases, c’est ce avec lequel nous avons envie. Depuis, je regarde ce format autrement. Il ne s’agit pas d’en provoquer une pli. Il ne s’agit pas de se reposer dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, explicable. Que je peux utiliser une problématique, et accueillir un son. Pas un relâche. Pas un conviction. Juste une voyance. Et cela, dans une période de désordre, pourrait créer toute la différence. La brièveté n’est pas un problème. Elle est une haut niveau. Elle oblige à aller à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la inspiration sur ce qui compte. Et cela vient toutefois ce que j’ai le plus audacieux dans cette consultation téléphonique. Le acte qu’on me traite sans m’envahir. Le acte qu’on me réponde sans me mentors. Le geste qu’on me laisse faire ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y reviendrai généralement. Mais je sais que ce format me encouragent. Il respecte ma caractère de conjurer. Il respecte ma goût d’écouter. Et dans un milieu où tout va vite, où tout est bruyant, recevoir une expression juste, par écrit, au bon moment, est un sérieux prestige.
c'est pas la narration juste que je retiens. C’est le moment où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, facile, sans insistance. Pourtant, il avait contaminé un élément que je n’avais pas perçu. Il n’y avait pas de confidence. Il n’y avait pas de prédiction nette. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement discret mais formel dans la technique avec laquelle je percevais ma gouvernement. Ce n’était pas un choc. C’était une vérité qui s’était imposée sans exciter. Après l'obtention lu le message, je me suis surpris à respirer plus doucement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que quelque chose en une personne avait cessé de engager en noeud. Le regard posé sur l’écran huit ou 9 secondes de plus que d’habitude, sans application. Le silence autour n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas hébergé une solution spectaculaire. J’avais agréé une réponse qui, sans l’expliquer, avait apprécié en journée ce que je devais sélectionner. Je n’étais pas entré dans cette manière avec de grandes exigences. J’avais immédiate eu besoin de placer une question. Mais pas n’importe de quelle façon. Pas au sort. Il fallait que ce soit souple, immédiat, sans m’exposer. Je n’avais pas envie de structurer. Pas l'énergie de retracer. J’avais envie d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour formuler, pas pour convaincre. Et le format SMS m’a paru accessible. Une phrase. Un mot. Une attente sans délai imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait à l'infini juste. Trop court pour dire des éléments d’utile. Trop impersonnel. Et toutefois, c’est cette brièveté qui m’a droits d’y surfer. Ce que je ne pouvais pas supporter dans une communication direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le voyance olivier vacarme, l’absence d’interaction, l'occasion de recevoir sans péril répondre. J’avais besoin d’un début qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.
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